Le classico français est une rencontre mythique opposant l’Olympique de Marseille au Paris Saint Germain. Cette rencontre a une saveur particulière, on connait la rivalité féroce entre parisiens et marseillais (et cela sur tous les plans).
Depuis environ huit ans, et l’arrivée du QSI, la rencontre a un peu perdue de sa superbe car Paris présente une équipe très très fournies en talents pendant que le club phocéen, qui était sur la phase finale de l’ère Louis-Dreyfus, perdait peu à peu ces meilleurs éléments (Même si l’on ne peut pas oublier le 2-2 de 2017 avec un Ocampos en feu). Ainsi, on est loin des années 90, époque où le club phocéen était une équipe vraiment féroce et effrayante qui possédait des joueurs comme Jean Pierre Papin, Didier Deschamps ou encore Carlos Mozer.
Ce dernier cité était le plus effrayant, c’est en tout cas ce que pense Valdo, joueur parisien de 1991 a 1995. Dans une interview accordée à L’Équipe, l’ex international brésilien et aussi partenaire de Mozer (en sélection et à Benfica) a déclaré l’état d’esprit qui l’animait avant chaque match contre le PSG et le moins que l’on puisse dire c’est que le défenseur aux 118 matchs avec l’équipe phocéenne n’était pas un poète.
« Mozer n’était pas dur, il était très dur. Face à lui et l’OM, c’était chaud. Mozer, il fallait juste essayer de ne pas entrer dans sa zone pour l’éviter. Certains y arrivaient, d’autres pas… »
Espérons donc que nos défenseurs actuels en l’occurrence Kamara, Perrin, Alvaro et Caleta-car aient le même effet sur les attaquants adverses.
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