Ce dimanche soir, l’Équipe de France reçoit la Croatie en quart de finale retour de Ligue des Nations après sa défaite 2-0 à l’aller. Il va falloir faire un très gros match pour se qualifier pour le prochain tour. Présent en conférence de presse d’avant match, le sélectionneur des Bleus, Didier Deschamps, a failli être piégé par un journaliste.
Tout le monde attend une grosse réaction de l’Équipe de France ce dimanche soir pour le match retour de Ligue des Nations contre la Croatie après s’être incliné 2-0 à l’aller. Auteur d’un match catastrophique à l’aller, les Bleus sont donc attendus au tournant. Avant ce match retour, le sélectionneur des Bleus, Didier Deschamps était présent pour l’habituelle conférence de presse où un journaliste a tenté de piéger l’ancien marseillais.
Deschamps évite le piège
« On a vu la Croatie faire pas mal tourner devant lors de ses derniers matchs avec Kramaric, Matanovic, Petkovic, Perisic…
Est-ce que vous n’avez pas peur de voir débuter demain soir le jeune « Baleglawic » (bats les glaouis), qui fait une grosse année 2025 ? S’il débutait, est-ce que vous préparez un plan pour le contrer ? »
Sans esquisser le moindre doute, Deschamps a répondu : « On connait tous les adversaires. Si vous savez qui débute demain chez les Croates, ça m’intéresse. On supervise les adversaires dans les infos qu’on peut transmettre à nos joueurs. Tous les joueurs qui sont dans la liste peuvent à un moment être sur le terrain ».
Scène complètement improbable en conférence de presse :
Un journaliste a voulu piéger Didier Deschamps avec une question pour le moins ridicule : il a inventé un joueur croate pour tester Didier Deschamps. pic.twitter.com/iQ01hMudlE
— RMC Sport (@RMCsport) March 23, 2025
Si cela ressembler à une question banale, le joueur en question n’existe pas. Au vu du nom du faux joueur utilisé, on imagine que la blague était préparée. Cependant, Didier Deschamps est concentré sur ce quart de finale retour pour tenter de qualifier l’Équipe de France. Un objectif qui ne sera pas simple puisque les Bleus devront marquer à trois reprises au Stade de France, sans encaisser de buts.
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