La première partie de saison de l’Olympique de Marseille est vraiment très mauvaise et la crise pointe le bout de son nez. Nico de FootballClubdeMarseille estime que les résultats ne sont pas le pire mais c’est plutôt la communication des différentes personnes du staff qui laisse à désirer.
Une communication désastreuse à l’OM
Les dirigeants de l’Olympique de Marseille ont été invités pour une réunion à Boston qui sonnait comme une réunion de crise par Frank McCourt face aux résultats du club. Les supporters et de nombreux observateurs pensaient que le président du club olympien allait se faire remonter les bretelles et ainsi les choses seraient remises sur pied. Mais ce n’était pas le cas, les cadres étaient juste invités par l »actionnaire majoritaire. Nico a pointé du doigt l’écart entre les déclarations rassurantes en conférence de presse et les efforts fournis sur le terrain.
« Mon info c’est la communication du club en général, depuis le début de ce qu’on peut considérer comme une crise depuis tous ses matchs perdus de façon piteuse. J’ai eu la puce à l’oreille sur la réunion de Jacques-Henri à Boston où on pensait qu’il allait se faire tirer les oreilles par McCourt. On a su plus tard que ce n’était pas une réunion de crise mais une convention de Frank McCourt avec ses cadres supérieurs. Il y a eu aussi la conférence de presse mardi de Steve Mandanda et de Rudi Garcia mais aussi les zones mixtes où les joueurs sont mielleux à dire que les supporters ont raison de ne pas être content et qu’ils travaillent pour améliorer la situation. J’en ai marre du FC déclaration. C’est bien beau de dire ça mais je veux voir des joueurs plus engagés sur le terrain et plus concentré. Même en jouant mal, il y a un minium d’engagement et de concentration que je ne retrouve pas. Le dernier match au vélodrome que j’ai vu, c’était contre Reims où j’ai vu des attitudes nonchalante. Les comportements sur le terrain ne sont pas du tout en accord avec ces déclarations, c’est quelque chose qui a tendance à beaucoup m’irriter. Donc on ne veut plus de discourt mais des actes »
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