L’Olympique de Marseille a très bien démarré la saison avec des victoires face à Montpellier, Saint-Etienne, Monaco et Rennes, mais la suite a été moins impressionnante. Le défenseur Leonardo Balerdi explique cela par la succession des matchs tous les trois jours.
Lors des dernières semaines avant la trêve internationale, l’Olympique de Marseille a enchaîné les matchs nul. Une série qui leur permet quand même d’être 5ème du championnat même si l’OM aurait pu mieux faire. On est loin des bonnes prestations du début de saison. Pour en connaitre les raisons, le défenseur Leonardo Balerdi s’est expliqué lors d’un entretien accordé à Foot Mercato.
« Il faut prendre en compte la fatigue quand on joue tous les trois jours »
« C’est vrai qu’on avait une très bonne équipe lors des premiers matchs et on a peut-être baissé un peu le niveau ensuite. Il faut prendre en compte la fatigue quand on joue tous les trois jours. Il nous manque aussi peut-être la finition, bien mieux terminer nos occasions et d’être un petit peu plus solides derrière, de commettre moins d’erreurs défensives. On doit aussi continuer ce chemin, engranger le plus de points possible, car les équipes du haut de tableau perdent très peu de points. Si on veut rester dans ce wagon du haut de classement, ce qui est l’objectif, on doit continuer de gagner des matchs. Il faut se reposer au maximum quand on le peut et continuer de se donner à 100% ensuite pour aider au maximum l’équipe. Oui, quand on joue tous les trois jours, on a moins de temps pour travailler. C’est plus difficile de s’améliorer et de progresser. Mais nous ne sommes pas la seule équipe dans ce cas. On doit juste continuer sur cette lancée. On doit être un peu plus clinique dans cette finition et plus compact défensivement, pour être une équipe plus solide pour la fin du championnat »
On peut remarquer qu’à part le PSG, certaines équipes qui enchaînent les matchs dans plusieurs compétitions peinent en championnat. Les marseillais auront à cœur de faire un bon résultat ce dimanche soir face à l’OL.
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