Pas en odeur de sainteté du côté de l’OM, cette légende du club serait sur le point de claquer la porte du club en fin de saison.
Dès son arrivée sur le banc de l’OM, Igor Tudor a pris la décision de mettre Dimitri Payet (alors capitaine du club) sur le banc. Une décision incompréhensible quand on sait que le réunionnais était le maitre à jouer des marseillais (sous Jorge Sampaoli lors de la saison 2021-2022) et surtout le très grand artisan du parcours exceptionnelle des marseillais autant en championnat qu’en coupe d’Europe. Une décision qui, dans un premier temps, se devait d’être temporaire (au vu de l’état de forme du joueur selon Tudor) mais qui s’éternise.
En effet, depuis le début de saison Payet a disputé 19 matchs en championnat (dont 8 en tant que titulaire) soit 705 minutes de jeu. Un temps de jeu famélique qui s’est depuis aggravé avec la signature de Ruslan Malinovski qui, a depuis, les faveurs du technicien croate. Dès lors, la question de l’avenir du milieu de 36 ans se pose. En effet, à un an de la fin de son contrat, le joueur sait qu’il devra batailler pour avoir du temps de jeu et pourrait donc partir vers d’autres cieux avant la fin de sa carrière. C’est en tout cas ce qui ressort de l’article du quotidien Le Phocéen sur ce sujet.
« Dimitri Payet semble à un tournant de sa carrière. Mais a-t-il de la marge de manœuvre ou les jeux sont-ils faits à l’avance ? Si Igor Tudor reste à la tête de l’équipe la saison prochaine, que pourra bien faire l’ancien Phocéen d’Or de la saison dernière ? Retrouver une assez bonne forme physique, comme l’an passé ? Pas certain que cela suffise, tant son coach ne le pense pas adapté à sa méthode. Bien que Payet soit un joueur qui a toujours su rebondir, y parviendra-t-il cette fois ? A la fin de la saison, il restera un an de contrat avec l’OM au « Marseillais à vie » »
A l’instar de Steve Mandanda, Payet pourrait ne pas terminer sa carrière sur la canebière. Une mauvaise nouvelle pour celui qui se disait « marseillais à vie » et qui a refusé maintes fois de quitter le navire (malgré des sollicitations plus ou moins alléchantes).
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