La décision de l’OM de repartir en stage en Italie après la victoire contre Brest (4-1) continue de susciter des interrogations. Bien que cette mise au vert ait été critiquée avant le match, elle semble avoir eu des effets positifs sur le groupe et la tactique, notamment avec le passage du 3-4-2-1 au 4-3-3. Pourtant, certains observateurs restent sceptiques quant à l’utilité de prolonger cette méthode.
Dans L’After Foot sur RMC Sport, Kevin Diaz s’est montré dubitatif face à ce choix, exprimant son incompréhension : « La mise au vert, j’ai pu la comprendre avant Brest, mais là, je ne la comprends plus. Qu’est-ce que cela veut dire ? Qu’à l’OM, tant qu’il y aura De Zerbi, on ne restera pas à la Commanderie à l’approche de matchs importants alors qu’il y a tout ce qu’il faut pour bien travailler ? » Selon lui, les infrastructures de l’OM sont suffisantes pour une préparation optimale, sans nécessité de s’exiler à Rome.
🔵⚪️ @kevindiaz11: "La mise au vert, j'ai pu la comprendre avant Brest, mais là, je ne la comprends plus. Qu'est-ce que cela veut dire ? Qu'à l'OM, tant qu'il y aura De Zerbi, on ne restera pas à la Commanderie à l'approche de matchs importants alors qu'il y a tout ce qu'il faut… pic.twitter.com/6EGXtEaIBU
— After Foot RMC (@AfterRMC) April 28, 2025
Présent sur le plateau, Daniel Riolo partage cet avis et regrette que l’OM doive quitter Marseille pour bien travailler. Cependant, cette mise au vert semble avoir une vocation bien spécifique : il s’agit avant tout d’une initiative ponctuelle destinée à sécuriser une fin de saison capitale pour le club phocéen. L’efficacité du procédé reste une question ouverte.
Il est difficile de prédire si cette approche sera reconduite la saison prochaine. Si elle apporte des résultats concrets en cette fin de championnat, elle pourrait être intégrée aux méthodes de préparation de l’OM, mais rien n’est encore certain.
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