L’Olympique de Marseille est actuellement deuxième du championnat notamment grâce à 5 victoires consécutives. Ce samedi, les hommes d’André Villas-Boas se déplacent à Metz, une chance de plus de confirmer cette seconde place au classement. Pierre Ménès n’a pas hésité à encenser le nouveau coach olympien.
S’il y a bien un club que beaucoup d’observateurs n’attendaient pas à cette place en championnat, c’est l’Olympique de Marseille. Avec un effectif réduit et un recrutement qui semblait pauvre en début de saison sans oublier la longue absence sur blessure de Florian Thauvin, peu de personne pensait voir les marseillais à un tel niveau de jeu. Et pourtant les marseillais réalisent une première partie de saison très bonnes avec une seconde place qui leur permet de rêver à l’objectif mis en place en début de saison. Le journaliste de Canal+ Pierre Ménès peu habitué à encenser les clubs français, a avoué être surpris par le technicien portugais. Il s’est confié dans l’émission « Parlons Ballon » et a évoqué le début de saison de l’OM et la qualité de son entraîneur.
« On n’a pas vu ça depuis Bielsa … »
« Il y a toujours ce qu’il faut dans le contenu pour l’emporter. Je trouve qu’il y a un état d’esprit, une combativité. Il y a clairement quelque chose qui se passe. Compte tenu de l’étroitesse et surtout en quantité de l’effectif je trouve que c’est vraiment bien […] Il y a une cohérence, une logique dans les choix de Villas-Boas. Il y aussi de la persévérance. Il persévère avec Payet à gauche et on voit que plus Payet est bien, en plus il dézone. Le fait de ne pas avoir remis Alvaro, et d’avoir laissé Caleta-Car et Kamara. Voilà, il y a des vrais choix et pour l’instant tous les choix de Villas-Boas sont payants. Je suis très impressionné par son travail […] J’étais pas super emballé par son arrivée. Il n’avait vraiment pas bien fait à Tottenham. Peut-être que c’est un mec qui apprend, avec un effectif à sa dimension. On n’a pas vu ça depuis Bielsa … »
Pierre Ménès compare le travail d’André Villas-Boas à celui de Marcelo Bielsa, qui avait pourtant des moyens bien plus élevés.
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