En état de grâce cette saison du côté de l’Olympique de Marseille, Valentin Rongier a livré son sentiment sur l’ambiance qu’il y’a dans les travées de l’Orange Vélodrome.
C’est l’un des cadors de l’Olympique de Marseille cette année. En effet, avec 22 matchs joués sur 28 (dont 17 en tant que titulaire), Valentin Rongier est l’un des rares joueurs à faire (presque) l’unanimité auprès de son entraîneur. Une situation qui a tout d’un exploit quand on voit la qualité des joueurs qui sont sur le banc olympien (Pape Gueye, Amine Harit…) C’est donc une belle revanche pour le joueur de 27 ans qui était un peu en délicatesse depuis son arrivée à l’été 2019 en provenance de Nantes.
Cette résurrection du natif de Mâcon (France) est due en partie à l’atmosphère de l’Orange Vélodrome. En effet, l’ambiance exceptionnelle qui émane des travées du mythique stade de l’écurie phocéenne, a réussi à transfigurer l’ancien capitaine du FC Nantes. Dans une interview diffusée sur le podcast (Hors Terrain) de Mohamed Bouhafsi, Valentin Rongier a confirmé cet aspect là du stade.
« On fait ce métier pour jouer dans un club comme l’OM. Déjà quand tu rentres au Vélodrome en tant que joueur c’est exceptionnel. À chaque fois que je partais jouer à Marseille avec le FC Nantes, c’était déjà particulier. Quand je me suis dit que j’avais la possibilité de jouer toutes les deux semaines face à ces supporters là. Je me suis dit fonce. J’ai fait des sacrifices pour connaitre ça (…) La musique Jump me met des frissons. Avant que je parte pour rejoindre Marseille, la veille il y avait l’OM qui recevait Saint-Étienne à l’occasion du match des 120 ans du club. J’étais avec ma famille et on avait décidé de prendre des pizzas pour regarder le match. J’étais parti les chercher et comme je savais que je partais le lendemain pendant le trajet j’avais mis la musique Jump à fond. J’avais déjà des frissons alors imagine lors de mon premier match.»
Espérons que cette ambiance incroyable soit déterminante ce dimanche, dans le choc au sommet de la 29ème journée contre l’OGC Nice (2ème) de Christophe Galtier.
A lire aussi :
